ligne de valmondois a marines
Station (gare) de Marines (95) 1
Marines, gare terminus, comporte un bâtiment principal, de dimension plus importante que dans les autres gares. Il comprend à l’étage le logement du chef de station, une aile avec halle à marchandises et une autre servant de salle d’attente, plus grande que dans les autres gares.
Cette station est dotée de quatre voies dont deux pour les marchandises et une de débord. Une cinquième dessert la remise à machines. En 1910, lors de la mise en service de la ligne de la Compagnie de l’Ouest Chars Marines, une voie supplémentaire est posée, reliée aux deux voies principales. Elle assurera entre les deux réseaux un trafic très restreint. Comme dans chaque gare, la lampisterie et les latrines sont regroupées dans une petite construction indépendante située à quelques mètres de la salle d’attente pour des raisons de sécurité et de salubrité.
L'installation de Marines (comme celle de Valmondois) comporte d’origine une plaque tournante pour le retournement des machines.
Des embranchements particuliers desservent des lieux d’intérêt économique.
Station (gare) de Bréançon & Grisy les Plâtres (95) 1
La Station de Bréançon-Grisy, comporte au rez de- chaussée : un bureau avec guichet, une cuisine, une salle d’attente, une halle à marchandises et à l’étage : deux pièces et un grenier au-dessus de la salle d’attente. Le tout est de dimensions modestes.
La station de Bréançon-Grisy ne comportent qu’une voie d’évitement raccordée.
Station (gare) d'Epiais-Rhus & Theuville (95) 1
La Station d'Epiais-Rhus, comporte au rez de- chaussée : un bureau avec guichet, une cuisine, une salle d’attente, une halle à marchandises et à l’étage : deux pièces et un grenier au-dessus de la salle d’attente. Le tout est de dimensions modestes.
La station d'Epiais-Rhus comporte deux voies d'évitements. La remise à machines en gare d’Épiais-Rhus aménagée, lors de la construction de la première partie de la ligne, est utilisée comme atelier de peinture jusqu’à sa démolition en 1928.
Ancienne Station (gare) de Vallangoujard (95) 1
La Station de Vallangoujard, comporte au rez de- chaussée : un bureau avec guichet, une cuisine, une salle d’attente, une halle à marchandises et à l’étage : deux pièces et un grenier au-dessus de la salle d’attente. Le tout est de dimensions modestes.
La station de Vallangoujard ne comportent qu’une voie d’évitement raccordée.
cette gare à été transformée en maison d'habitation visible rue verte
Ancien arrêt chateau de Brecourt à Labeville (95)
Je n'ai pas retrouvé des informations précises sur ce sujet il ne s'agit donc que d'interprétations.
Par contre cet arrêt situé au passage à niveau du chemin rural dit de Ramponne, dessert les hameaux de Brécourt et de Mesnil à partir de septembre 1888. Un abri et un accès privés sont réservés au château de Brécourt.
Ancienne Station de Labeville (95) 1
La Station de Labeville, comporte au rez de- chaussée : un bureau avec guichet, une cuisine, une salle d’attente, une halle à marchandises et à l’étage : deux pièces et un grenier au-dessus de la salle d’attente. Le tout est de dimensions modestes.
La station de Labeville ne comportent qu’une voie d’évitement raccordée.
Gare de Nesles la vallée (95) 1
La Station de Nesles-la-Vallée, comporte au rez de- chaussée : un bureau avec guichet, une cuisine, une salle d’attente, une halle à marchandises et à l’étage : deux pièces et un grenier au-dessus de la salle d’attente. Le tout est de dimensions modestes.
La station de Nesles-la- Vallée comporte deux. Nesles possède, en outre, une voie de débord côté cour des voyageurs.
Gare de Valmondois / Butry (95) - 1
La gare de Valmondois est une gare ferroviaire française de la ligne de Pierrelaye à Creil, située sur le territoire de la commune de Butry-sur-Oise, à la limite de Valmondois, dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.
La ligne de Paris à Lille fut ouverte le 20 juin 1846 par la Compagnie des chemins de fer du Nord. Cette ligne passait alors par la vallée de Montmorency avant de bifurquer vers le nord-est à Saint-Ouen-l'Aumône et de suivre la vallée de l'Oise. L'itinéraire actuel plus direct par la plaine de France et Chantilly n'a été mis en service qu'en 1859, n'accordant plus dès lors qu'un rôle de desserte secondaire à cet ancien itinéraire. La jonction d'Ermont à Valmondois via Saint-Leu-la-Forêt est ouverte en 1876, d'abord à voie unique, puis est doublée en 1889.
La modernisation de l'itinéraire entre Paris-Nord et Pontoise est lancée avec pour but d'améliorer les performances de cette ligne dont la fréquentation est en hausse constante avec l'urbanisation croissante de la banlieue Nord et de faire disparaître les locomotives à vapeur 141 TC tractant les robustes mais spartiates voitures de type Nord à la fin de 1970.
En 1969, la traction électrique est en service de Paris à Pontoise et de Pontoise à Creil accompagnée de la signalisation par block automatique lumineux.
Puis finalement, c'est au tour de l'antenne d'Ermont - Eaubonne à Valmondois en .
Valmondois était également la tête de ligne d'un chemin de fer secondaire à voie métrique exploité par la Société générale des chemins de fer économiques qui reliait la gare de Valmondois à Épiais-Rhus et Marines. La ligne fut inaugurée en 1886 (jusqu'à Épiais-Rhus), et prolongée à Marines en 1891 (voir article précédent).
à suivre les anciennes gares et haltes jusqu'à Marines